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Publié par IBUKABOSE

Le prochain Congrès de SOS Racisme se tiendra les 21, 22 et 23 octobre prochain.

Vu les enjeux, il s'agit du Congrès de tous les dangers pour la survie même de SOS Racisme. Un virage à bien négocier. Les délégués conviés à cette occasion devront faire preuve d'un grand sens des responsabilités et d'une grande lucidité car des décisions qu'ils prendront dépend ni plus ni moins l’existence même de SOS Racisme.

SOS Racisme doit en effet faire face à la plus grave crise financière de son histoire. Une crise financière sans précédent pour l'institution, conséquence inéluctable de la gestion calamiteuse, opaque et autoritaire de près de huit années menée d'une main indisciplinée par son actuel président, Dominique Sopo. Une crise qui a jeté ces derniers mois un profond malaise au sein de l'association.

J’avais déjà dénoncé les contours de l'affaire relative au fiasco financier du concert organisé le 14 juillet 2011 aux Champs de Mars. Un concert décidé unilatéralement par le tandem Sopo - Abtan, sans consultation préalable et contre les réserves du Trésorier. Des subsides publics délibérément surévalués et jamais encaissés, des artistes grassement, voire trop grassement payés et d'autres qui se sont produits gratuitement, croyant faire œuvre de bienfaisance... Au final, un déficit de caisse de près de 800.000 Euro et de l'escroquerie dans l'air. A ce prix là, la promotion de la France Black-Blanc-Beur que nous appelons de tous nos voeux coûte cher, très cher au contribuable.

Mais d'où provient cet argent dépensé sans compter ? Où sont en effet passés certains des fonds engagés et dont l'affectation n'est pas clairement établie ?

Voilà bien des questions qu'il serait opportun de soulever lors du Congrès et éventuellement devant un juge d'instruction. Il y a fort à parier qu'aucune réponse ne sera donnée car le malaise de Dominique Sopo est trop évident. Celui-ci se contente seulement d’accuser ses détracteurs d’être des « chemises brunes de l’extrême droite » et d’être « harcelé » depuis deux années... Mais Dominique Sopo a-t-il déposé plainte pour harcèlement ? Non, il ne l’a pas fait.

Pour bien cerner le malaise de Dominique Sopo, il suffit d'observer l'énergie que ce dernier déploie pour tenter de sauver sa tête en prolongeant son mandat le temps de combler le déficit, quitte à mentir encore et encore auprès des institutionnels sollicités pour supporter des événements qui ne verront à terme jamais la couleur de l'argent de leur sponsor ou ne verront jamais le jour.

Mais cette affaire est intéressante à d'autres égards, pas seulement financiers, et il conviendrait que les membres du Congrès et les citoyens français en soient bien avertis.

Nous voulons parler des graves dérives idéologiques et ségrégationnistes dont se sont rendus responsables le tandem Sopo Abtan ces dernières années et qui peuvent être résumées en une phrase toute symbolique « Evoquer le sang des Hutus, c'est salir le sang des Tutsis » scandaleusement formulée par le président de l'association à l'occasion du retentissant et infructueux procès engagé par SOS Racisme contre l'écrivain Pierre Pean. Ces dérives constituent en quelque sorte la toile de fond de ce dossier.

Il n'aura en effet échappé à personne que, depuis quelques années, SOS Racisme, par la voix de son Président et de son compère Abtan, s’est livré à une véritable stigmatisation et une chasse effrénée aux Hutus dits génocidaires et ce jusqu'à en perdre bien souvent la raison voire la décence et l'objectivité la plus élémentaire. Cette indécence a culminé récemment dans une série de graves accusations portées à l'encontre de la communauté congolaise de France, accusée de poursuivre le génocide des Tutsis en France.

Mais pourquoi une telle dérive et un tel acharnement à vouloir stigmatiser à ce point une communauté d'hommes et de femmes, pour la plupart innocents et victimes de la haine humaine, jusqu'à leur nier même leur humanité. Et pourquoi amalgamer dans ce fatras d'inconsidérations la communauté congolaise qui n'a jamais pris part au génocide de 1994 ?

N'est ce pas de l'incitation à la haine pure et simple pénalement répréhensible ? Une procédure judiciaire est en cours à ce propos et nous livrera son verdict.

En réalité, la réponse à la question ci-dessus se trouve dans la nature des relations étroites entretenues par certaines personnalités françaises proche du lucratif régime de Paul Kagamé et qui s'en sont fait les propagandistes invétérés.

Tel est le cas de Dominique Sopo et de Benjamin Abtan qui ont fait de SOS Racisme un outil de ségrégation communautaire, le relais d'une guerre et d'une haine venues d'ailleurs, bien loin des préoccupations premières et légitimes de l'association. Mais une guerre lucrative pour les actuelles autorités françaises qui, à l'image de Claude Guéant, ont semble-t-il repris le flambeau du French Doctor, pour oeuvrer au réchauffement diplomatique, avec le Rwanda ( http://fr.hirondellenews.com/content/view/16789/325/ ).

C'est cette inclinaison pro tutsi qui a sans doute poussé Dominique Sopo, suant d'inquiétude devant la catastrophe de la situation financière de l'association, à frapper récemment et en désespoir de cause à la porte de l'Open Society Foundation, l'association financée par le milliardaire Georges Soros, l'un des grands acteurs du processus de balkanisation de la RDC et soutien de l'action génocidaire de Paul Kagamé en Afrique centrale et plus particulièrement en RDC. Un homme récemment accusé par un rapport des Nations unies d'acte de génocide et accueilli en septembre dernier « à bras ouverts » par le Président Sarkozy, sans doute pour être mieux délogé le moment venu, question de ne pas laisser de trace intempestive des mallettes (cf le dernier livre de Pierre Pean : http://www.dailymotion.com/video/xl27qk_pierre-pean-la-republique-des-mallettes_news -

http://www.evene.fr/livres/livre/pierre-pean-la-republique-des-mallettes-45087.php ).

Dominique Sopo aurait reçu de l'Open Society Foudation une somme de 150.000 Euro pour renflouer les caisses.

Mais qu'est ce que SOS Racisme a à gagner en recevant de l'argent d'un tel homme ? D'autant que ce dernier vient d'être débouté face à la France dans la procédure qu'il avait engagée près de la CEDH dans le cadre de la condamnation pour délit d'initié que lui avait infligée la Justice française ( http://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/le-financier-george-soros-deboute-face-a-la-france_1037705.html ).

Voilà dans quel marre boueuse jouent Messieurs Sopo et Abtan. Une marre dans laquelle ils ont entraîné SOS Racisme et dont il convient rapidement de l'en extirper pour lui redonner une santé et lui redorer le blason. La France en a bien besoin.

Le tournant du Congrès de ces 21, 22 et 23 octobre prochain est donc bien crucial. Gageons que la morale et l'honnêteté l'emportent pour une fois. La France en a tant besoin.

Stéphane Sonck

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Lettre ouverte de Stephane.Sonck à Dominique Sopo, Benjamin Abtan

Date : 26 septembre 2011 00:25

Objet : Dominique Sopo et Benjamin Abtan ont-ils coulé SOS Racisme financièrement ?

Lettre ouverte à l’attention de Monsieur Dominique Sopo, président de SOS Racisme

Copie aux membres de SOS Racisme et de la société civile

Copie au parlement et à la ville de Paris

Copie à la presse

-1-    Introduction  

-2-    SOS Racisme : une trésorerie en déficit de près de 800.000 euros ?

-3-    Le tandem Sopo-Abtan attise-t-il délibérément la haine raciale au lieu de lutter contre le racisme ?

-4-    Conclusions

Le 26 septembre 2011

Monsieur Sopo,

Si les informations ci-dessous devaient se confirmer, les comités et membres de SOS Racisme France devraient engager une action en justice contre les décideurs du concert SOS Racisme du 14 juillet 2011 à Paris : Dominique Sopo et Benjamin Abtan.

-1-      Introduction

Ce mardi 27 septembre 2011, une importante réunion du Bureau de l'association SOS Racisme se tiendra à son siège de Paris.

Cette réunion intervient quelques jours seulement avant l'élection du nouveau président de l'association prévue statutairement en octobre 2011 et promet d'être très inconfortable pour Dominique Sopo, l'actuel président, qui n'envisage pas de renouveler son mandat.

Dominique Sopo est en effet sur la sellette. En interne, des reproches lui sont ouvertement adressés quant à sa gestion opaque des comptes de l'association. Les tensions sont palpables. Longtemps tenues sous le boisseau, celles-ci sortent au grand jour et s'affirment de plus en plus.

Deux facteurs expliquent cela :

-     d'une part, le départ de l'ancien ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, qui avait mis en selle et soutenait politiquement le tandem Sopo-Abtan ;

-     et d'autre part, l'affaiblissement des réseaux associatifs pro-tutsi soutenus par le régime de Kagamé à Kigali lui même en disgrâce sur la scène internationale depuis la publication du Rapport du HCDH des Nations unies sur les violations graves des droits de l’Homme perpétrées au Zaïre puis en RDC entre mars 1993 et juin 2003 qui pointe la responsabilité du FPR (Front Patriotique Rwandais) pour crimes de génocide.

Selon certaine indiscrétion : « Dominique Sopo et Benjamin Abtan ont coulé financièrement SOS Racisme. De plus, ils ont dangereusement détourné l’association de son objet social qui est la lutte contre toute forme de racisme en l'instrumentalisant pour satisfaire la politique de Monsieur Kouchner et de leur amis rwandais d'Ibuka. On ne peut plus leur faire confiance. C'est la crédibilité et l'avenir de SOS Racisme qui se jouent. »

Les reproches formulés à l'encontre de Dominique Sopo sont donc très graves.

Ce dernier est conscient de la fronde qui l'attend. Ainsi il chercherait à éviter à tout prix les conséquences fâcheuses d'une éventuelle plainte à son encontre de la part des autres membres de l'association.

C'est pourquoi, il tenterait de négocier discrètement au sein du Bureau l'annulation pure et simple des élections d'octobre 2011 moyennant son départ sans condition au mois de juin 2012. Solution évidemment inacceptable.

En réalité, indépendamment du volet strictement financier, Dominique Sopo et Benjamin Abtan pourraient bien être rattrapés d'ici là par la Justice française dans le cadre d'un dépôt de plainte pour incitation à la haine raciale. Une procédure judiciaire qui pourrait bien emporter SOS Racisme dans la bourrasque. Or, un tel scénario serait une catastrophe pour la crédibilité d'une association d'une telle utilité publique.

-2-  SOS Racisme : une trésorerie en déficit de près de 800.000 Euros ?

Quelques chiffres concernant le concert SOS Racisme du 14 juillet 2011 :

-   Coût :    1.177.000 Euros

-   Subventions :   444.000 Euros

-   Déficit SOS racisme: 800 000 Euros

Le 14 juillet 2011, SOS Racisme organisait à Paris un grand concert gratuit pour l’égalité. Le coût de cet événement, fruit des ambitions démesurées de Dominique Sopo, s'élevait à 1.177.000 Euros.

La décision du concert aurait été prise à huit clos entre Benjamin Abtan et Dominique Sopo. Les comités SOS Racisme et leurs présidents n'auraient aucunement été concertés et auraient été informés après à la prise de décision du duo Sopo-Abtan.

Avant le concert, la presse Parisienne annonçait des chiffres erronés couvrant les frais du concert. L'Etat français, la Ville de Paris et quelques fondations avaient accepté de subventionner cette manifestation à concurrence de 1.000.000 Euros, selon les propos de Monsieur Sopo. Les comités de quartiers parisiens s'étaient opposés au financement de la ville de Paris à ce concert.

Toutefois, seuls 444.000 Euros furent attribués. Aucun autre sponsor ne s'étant manifesté favorablement, il restait à l'association à financer seule le reste du budget.

Or celle-ci ne disposait pas d'une telle somme en trésorerie. Dominique Sopo serait toutefois passé outre la réserve du Trésorier de l'association. Au final, ce concert, dont le nombre de participant a d'ailleurs été délibérément gonflé par les organisateurs, fut une véritable gabegie qui n'aura rien rapporté à SOS Racisme si ce n'est une lourde dette de près de 800.000 Euros.

La responsabilité de cette dette reviendrait à Dominique Sopo, président de l'association SOS racisme, et à Benjamin Abtan, membre du bureau de SOS racisme.

Cette dette contraste de manière saisissante avec les gros, les très gros cachets dont ont bénéficiés les différents artistes qui ses sont succédés sur la scène.

Une dette contractée vraisemblablement auprès des banquiers de l'association qui depuis ne cessent de mettre Dominique Sopo sous pression en exigeant son remboursement. C'est donc en grande partie pour cette raison que Dominique Sopo entend négocier son départ de SOS Racisme en juin 2012 et éviter la dénonciation de son bilan financier par l'assemblée générale et avoir à assumer seul cette dette.

C'est donc l'angoisse et la peur qui poussent Dominique Sopo à courir dans tout les sens depuis quelques semaines pour trouver des dons ou d’autres subventions conséquentes afin d'arranger la situation.

Il se murmure d'ailleurs qu'il aurait introduit officiellement auprès de certains organismes publics des demandes de subvention au nom de SOS Racisme, dans le but prétexté de financer des événements culturels. Lesquels ? Personne n'en a la moindre idée, même pas chez SOS Racisme. Officieusement nul doute que cette opération vise à renflouer le déficit de la caisse. Si ces subventions venaient à être accordées, cela s'appellerait de l'escroquerie et engagerait encore plus la responsabilité de l’association.

Compte tenu de tout cela, il est évident que la reconduction de Dominique Sopo et l'annulation des élections d'octobre 2011 seraient des mesures pusillanimes et extrêmement dommageables de la part des membres du Bureau de SOS Racisme. Or il est temps de réagir et de mettre de l'ordre rapidement dans les rangs.

D'ailleurs l'intérêt porté à la question du maintient de Dominique Sopo (et avec lui de l'influence de Benjamin Abtan) à la tête SOS Racisme a largement dépassé les seuls membres du Bureau. La lutte contre la racisme nous appartient tous. Nous sommes tous d'une certaine manière membres de cœur de SOS Racisme.

Serait-il acceptable que les pouvoirs en place amènent les contribuables français à payer les 800.000 Euros de dette de SOS Racisme ce qui politisera et instrumentalisera encore plus l’association ?

Si tout ceci devait se confirmer, les comités et membres de SOS racisme France devraient engager une action en justice contre les décideurs du concert SOS Racisme du 14 juillet 2011 à Paris : Dominique Sopo et Benjamin Abtan.

Mais Messieurs Sopo et Abtan n'auraient pas seulement coulé SOS Racisme financièrement.

Ils ont également gravement porté le discrédit sur l'action de l'association en affichant ouvertement des comportements partiaux, voir racistes, incitant même abusivement à la haine raciale. C'est ainsi la légitimité même de l'activité d'intérêt public que mène l'association qui s'en trouve dévalorisée et décrédibilisée.

-3-  Le tandem Sopo-Abtan attise-t-il délibérément la haine raciale au lieu de lutter contre le racisme ?

Dans un récent communiqué, SOS Racisme a publié, par la voix de Dominique Sopo, un communiqué dénonçant les attaques racistes perpétrées à l'encontre des Rwandais (de la communauté tutsi) en marge du déplacement de Paul Kagamé en France le 12 septembre dernier. Des actes attribués à la communauté congolaise stigmatisée abusivement de génocidaire : http://www.sos-racisme.org/content/sos-racisme-denonce-les-attaques-racistes-perpetuees-l%E2%80%99encontre-des-rwandais-en-marge-du-dep

J'avais adressé le 21 septembre dernier un droit de réponse à Dominique Sopo (voir ci-dessous), en le priant de s'expliquer sur ses allégations et de les étayer. Comme à son habitude, il n'a donné aucune suite à mon apostrophe !

Pire, SOS racisme, otage d'une logique partisane et partiale pro-FPR (Front Patriotique Rwandais) a totalement passé sous silence le passage à tabac d'un congolais par les Services de sécurité de Paul Kagamé lors de la conférence du CAPE à Paris le 12 septembre. La scène a pourtant été filmée et largement diffusée sur le net où elle a été vue plus 11500 fois. http://www.dailymotion.com/video/xl2h11_rolain-mena-de-l-apareco-defie-la-garde-presidentielle-rwandaise-a-paris-au-cape_news

Le Congolais en question, Rolain Mena, avait interpellé la délégation rwandaise en visite à Paris les 11-13 septembre sur la question du génocide des congolais, de la présence rwandaise à l'Est de la RDC du viol des congolaises et du pillage des matières premières du Congo.   

Quel parti pris saisissant de la part de Dominique Sopo.

Entre temps, ce communiqué blessant a profondément indigné et choqué la communauté congolaise de France créant une réaction sans précédent de sa part. Plusieurs collectifs regroupant les Congolais de la diaspora ont réagit. Ils ont entre autres choses décidé de s'unir pour engager une action judiciaire par le dépôt d'une plainte pour diffamation et calomnie et incitation à la haine raciale contre SOS Racisme et Dominique Sopo le 28 septembre 2011 suite aux graves allégations formulées sans preuve à l'encontre de ses représentants :

-     Communiqué sur la procédure contre SOS Racisme et prise de position de l'opposition sur cet affront à l'encontre des Congolais

http://www.dailymotion.com/video/xl92jo_communique-de-presse-du-crccf-sur-la-procedure-contre-sos-racisme_news

-     Pétition

http://www.petitionenligne.fr/petition/la-plainte-contre-sos-racisme-a-propos-de-ses-accusations-contre-la-diaspora-congolaise/1656

-     Manifestations devant le siège de SOS Racisme

http://www.afriqueredaction.com/article-les-vaillants-combattants-arretes-devant-la-permanence-du-sos-racisme-ce-soir-a-17-heures-45-84708857.html

Ces réactions salutaires méritent d'être soutenues même par les membres de SOS Racisme.

Il n'y a plus lieu de craindre les élucubrations incongrues et les accusations récurrentes et intempestives de négationnisme formulées à l'emporte pièce par Messieurs Dominique Sopo et Benjamin Abtan à l'encontre de ceux qui osent dénoncer tout haut les exactions à caractère génocidaire et les crimes de guerre et crimes contre l'humanité commis par les troupes du FPR sur les populations tutsi et hutu du Rwanda ainsi que les populations congolaises dans la crise qui saigne la Région des Grands lacs depuis le génocide de 1994.

D'ailleurs Benjamin Abtan avait également reçu un droit de réponse de ma part suite à son article « le renforcement du négationnisme du génocide des tutsis », une interpellation restée sans suite de sa part … : http://www.inshuti.org/sonck4.pdf

Comment ne pas voir de partialité et de parti pris dans un propos aussi consternant que celui tenu par Dominique Sopo à l'occasion du procès intenté par SOS Racisme contre le journaliste d'investigation Pierre Péan : « Evoquer le sang des Hutus, c'est salir le sang des Tutsis ». Quel honte ! Comme s'il avait une place pour la concurrence des victimes dans les souffrances humaines.

Rappelons que malgré son acharnement, SOS Racisme n'a jamais obtenu ni en première instance ni en appel la condamnation de l'auteur de « Noires fureurs, blancs menteurs ».

-4-  Conclusions

Si les informations concernant le fiasco financier du concert SOS Racisme du 14 juillet 2011 décidé par Dominique Sope et Benjamin Abtan devaient se confirmer, les comités et membres de SOS racisme France devraient engager une action en justice contre les décideurs du concert.

Il est temps, pour une fois, que Monsieur Dominique Sopo et avec lui Monsieur Benjamin Abtan assument la responsabilité de leurs actes et de leurs paroles. Pour que cesse enfin cette surenchère de la haine distillée par ce triste tandem. Pour que SOS Racisme retrouve enfin ses lettres de noblesse et la santé financière qui pourra lui permettre de mener à bien sa mission de salut public.

Mesdames et Messieurs les membres du Bureau de SOS Racisme, reprenez les choses en main avant qu'il ne soit trop tard. Bannissez Dominique Sopo et Benjamin Abtan de votre association, laissez les assumer leurs responsabilités et ramener sans crainte le calme et la sérénité. Personne ne doit vous en dissuader.

SOS Racisme est quelque part  le miroir des anciennes colonies et fait partie du patrimoine culturel français. Cette association doit être maintenue.

J’invite tous les lecteurs attentifs et influents à soutenir SOS Racisme en faisant pression sur ses membres afin qu’ils mettent Monsieur Dominique Sopo devant ses responsabilités car il a fait trop de mal, semé trop de haine et trompé les membres de SOS Racisme sur la situation financière des comptes de l’association.  

Stéphane Sonck

stephane.sonck@gmail.com

 

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M
<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br />           je n'ai plus en tete les reproches qui s'adressaient depuis longtemps a M.Sopo, mais toujours etait que j'avais de ce Monsieur un jugement<br /> deja negatif. L'article en reference ne fait que confirmer cette implication qui l'amene toujours a faire des distingos dans ces jugements, s'appliquant a toujours aller dans le sens du vent. Ce<br /> Monsieur est de plus un procedurier naturel qui utilise sa" position"pour s'efforcer a neutraliser tout ces contradicteurs. Surement beaucoup de nombrilisme. L'argent je ne peux me prononcer.<br /> Mais que la justice qi a raison d'etre dans cette affaire aille jusqu' au bout. Cordialement Alain Monier<br /> <br /> <br /> <br />