Droit et devoir de mémoire pour tous « ibuka bose » : panacée contre l’oubli.
Par Jean Musafiri
Devant un drame national d’une extrême gravité et d’une rare cruauté tel que le génocide rwandais, la commémoration équitable de toutes les victimes s’impose comme un droit et un devoir absolus inhérents à la mémoire collective, une sorte d’antidote contre l’oubli, en souvenir de tous les disparus rwandais victimes du génocide (sans aucune distinction d’ethnie).