RWANDA DU RAPPORT « PROFESSEUR DECLERT: NOUVELLE DECOUVERTE OCCIDENTALE DU RWANDA 2021 DU BOURREAU GENOCIDAIRE FICHE HUTU ET DE SA VICTIME FICHEE TUTSI.
Introduction.
Depuis sa publication, le mystérieux Rwanda découvert par l’équipe scientifique du Professeur DUCLERT ; membre d’une des castes prestigieuses de la méritocratie républicaine ; suscite encore de réactions hétérogènes et beaucoup plus nombreuses que les nouveaux experts auto-proclamés du « Rwanda génétiquement modifié » .
Sur les marchés intérieur et extérieur des intérêts particuliers toxiques et individuels ambivalents , l’ADN du « Rwanda primitif » et l’ADN du « Munyarwanda adamique » ont été délibérément modifiés . Ainsi, Le Rwanda-Patrie et Nation- fut transformé en une marque commerciale multifonctionnelle et juteuse sous la nouvelle appellation contrôlée et mutante : « vrai MUNYARWANDA », «vrai Rescapé », vrai Repenti, vrai Patriote, vraie Diaspora, etc.
Les cercles des académiciens , rwandais et occidentaux, de génération « Père/Mère » et de génération « Fils/Fille » , cherchent encore la valeur ajoutée du Rapport2021 « Professeur Duclert » au « pas encore hypothétique concernant les comportements souvent antagonistes de la France plurielle au Rwanda d’octobre 1990- août 1994 . A la quasi unanimité, le monde universitaire fait un constant d’un fossé entre le contenu du Rapport et son cachet scientifique décrété par la France en marché du Président Macron et le Singapour africain du « Président Kagame ».
De l’intérieur de la France d’en haut , les conclusions du Rapport « Professeur Duclert » seront majoritairement inacceptables par la France politique et diplomatique, la France civile et militaire, la France républicaine socialiste et la France républicaine conservatrice.
Quatre raisons principales fondant le doute scientifique du cachet scientifique discerné au Rapport « Professeur DUCLERT ».
Sous la 5ème République Française , le Chef de l’Etat incarne l’Autorité suprême conférée par le peuple souverain et pour une durée déterminée. Le Président n’est pas l’éternelle France, Etat-Nation. De même, le caractère scientifique du Rapport « DUCLERT » n’est pas pas lié aux grades académiques des membres de la Commission placée sous sa direction . Le doute créateur des académiciens rwandais et européens fut réactivé seulement par le lien créée par l’Exécutif entre le contenu du rapport et son cachet scientifique produit. Rapport commandé par le Président Macron avec l’objectif et son usage clairement définis. But matérialisé en même temps par le rapport en lui-même et sa livraison au Président Kagame par le Professeur DUCLERT. Mode de livraison inhabituelle circuitant les canaux diplomatiques habituels.
Rareté d’au moins un article scientifique sur le Rwanda du Professeur Duclert
Toute « vérité scientifique » repose au minimum sur les sources réellement indépendantes, les faits indiscutables et accessibles, qualitativement représentatives et quantitativement suffisantes.
Agissant comme professeur d’université, Monsieur Duclert informe le lecteur de l’inaccessibilité de son équipe à la totalité des archives de la France officielle concernant la période litigieuse : Présidence, primature, ministères des affaires étrangères, de la coopération, de la défense, assemblée nationale.
Il précise également que son équipe a délibérément choisi d’éliminer les sources émanant d’autres acteurs de l’Histoire du drame du peuple rwandais entre octobre 1990 et août 1994. Choix étrange de la part d’une équipe universitaire de se priver des données et pourtant disponibles concernant un conflit où se mêlent les acteurs nationaux et internationaux , anciens et nouveaux, le pluralisme juridique et le pluralisme civilisationnel, les intérêts opposés et les intérêts convergents sur le marché local et sur le marché politique et économe dit « Afrique des Grands Lacs » ?
Sur le terrain strictement scientifique , comment peut-on décortiquer un document écrit : isolé de son environnement < père et mère » voir « fils et fille » , multi-dimensionnel et multifonctionnel, abritant les acteurs locaux et internationaux, anciens et nouveaux, poursuivant tantôt les intérêts convergents et tantôt les intérêts antagonistes ? La maîtrise de l’Histoire politique du Rwanda de l’Oralité et du Rwanda de l’Ecriture, du Rwanda socio-politique coutumier et moderne, du Rwanda pluri-culture et pluri-juridique, ne constitue-t-elle un atout préalable pour engager un dialogue entre les vivants, victimes et bourreaux et entre les morts et pourtant vivants ?
Les particularismes de la Commission scientifique sous la direction du Professeur
Sous la Vème République, la constitution d’une commission des experts et des scientifiques repose sur le lien entre l’objet de la mission et l’optimisation de l’addition voire la multiplication des compétences individuelles et reconnues à chacun de ses membres . Par exemple, la Commission nationale « Covid-19 » est constituée des scientifiques et des experts de la santé au sens de l’OMS : praticiens au quotidien et chercheurs au quotidien du secteur de la santé, se focalisant essentiellement aux infections virales respiratoires aéroportées ».
Force est de constater que pour le contentieux « Rwanda-France », virulent et de nature politico- militaire et diplomatique et médiatique, le Président Macron a délibérément choisi de se doter d’une commission basse gamme. Commission interdite à tous les meilleurs universitaires et experts du Rwanda d’en haut et du Rwanda d’en bas, y compris ceux qui ont participé en 1998 à l’Enquête parlementaire sur la tragédie rwandaise (1990-1994) . Seront également les experts et universitaires auprès du Tribunal international pénal pour le Rwanda.
L’attitude du Président Macron m’a rappelé le départ manu militari du dernier procureur effectivement indépendant du Tribunal Pénal international pour le Rwanda à Arusha. En 2003, Madame Carl Del Ponte pour « crime » d’insoumission » aux ordres du Généra Kagame à la tête du FPR triplement vainqueur – politique , militaire etdiplomatique et aux ordres de Son employeur ambivalent, le Conseil de Sécurité de Sécurité . En théorie, le garant universel de l’inviolabilité du droit pénal international. En pratique, instrument à des fins politiques de chacun de ses éternels Etats fondateurs et en même temps ses éternels principaux généreux donateurs
Le cachet scientifique à la thèse du Rwanda de la Constitution rwandaise 2003/2015 du génocide planifié
La découverte spectaculaire par l’équipe du Professeur Duclert de l’existence du plan du génocide des Tuts ne serait-elle pas sa valeur ajoutée pour le Tribunal international pour le Rwanda et toutes les victimes aspirant à une justice internationale enfin rompue avec le triage entre les victimes et entre leurs bourraux ? L’équipe du Professeur Duclert est affirmatif : Le plan génocidaire était déjà arrêté avant la mort provoqué du Président Habyarimana le 6 avril 1994. Vérité dormante dans les archives officiels et cachée par le pouvoir exécutif aux pouvoirs judiciaire et parlementaire et à toutes les instances onusiennes, à tous les experts des services de renseignements militaires et civils de tous ses partenaires européens et occidentaux de par le monde ? Vérité historique sortie des archives de Paris ou une vérité politique délibérément choisie par le Président Macron et maquillée par par le rapport Duclert ?
L’identité réelle du bénéficiaire de la politique de la France au Rwanda de 1990 à 1994 ?
Tout observateur avisé des comportements souvent de la France dans la zone Françafrique souvent antagonistes de la France Métropole et de la France des officiels ,aboutira à la conclusion selon laquelle qu’au nom de ses intérêts d’abord, l’attitude de la France est similaire à celles de ses éternels rivaux et en même temps partenaires historiques . En fonction du marché convoité et des rapports de force entre acteurs locaux et entre les acteurs internationaux , la France se forge des armes adaptés à l’optimalisation de son propre qu’importe l’effet rebond pour la population locale. Dévoilée, elle tient son éternel discours pour ses adversaires occidentaux d’abord. Voilée, elle fait ou défait les régimes locaux, renforce ses alliances anciennes ou les remplace par les nouvelles alliances. Parfois, elle lui réussit à imposer des compromis instables entre ses nouveaux alliés et ses alliés d’hier.
La lecture attentive des documents officiels entre les « dires » du Président Mitterrand et les « dires » du Président Habyarimana atteste que la France n’a jamais été favorable à une victoire militaire du Président Habyarimana. Au contraire, sa politique ambivalente a fait malgré elle un allié objectif de la triple victoire du FPR : faciliter la conquête irréversible d’un territoire de Byumba frontalier avec l’Uganda, refuser à l’Etat rwandais l’acquisition des armes en capacité de défaire le FPR, imposer au Chef de l’Etat l’acceptation de l’Accord de Paix inapplicable au Rwanda II du régime d’Habyarimana II issu de la nuit du 4 au 5 octobre 1990 et de l’accord « UNAR DU DEFUNT MUTARA -PARMEHUTU DU DEFUNT KAYIBANDA » à Bruxelles mai-juin 1962.
contexte virulent, création de la 1ère et dernière expédition du FPR dite punitive dirigée contre le camp Habyarimana « MRND-CDR », menée le 8 février à la surprise générale de la France militaire et de l’Armée gouvernementale et même à ses « ses vrais partenaires et démocrates » en contrat à durée déterminé, recrutés à Bruxelles en mai 1992.
La France de Mitterrand, fichée « Amie inconditionnelle » du Régime II d’Habyarimana II ; après avoir constaté que l’Armée issue de la nuit du 4 au 5 octobre 1990 se distinguaient par les défaites depuis janvier 1991 , et malgré sa remise en niveau depuis 1991 par la France militaire hautement qualifiée depuis trois ans ; a choisi de se retirer militairement plutôt de subir la défaite militaire et humiliation sur un terrain africain.
Décision brutalement sous le péril plus que probable FPR et sans a consultation préalable avec ses partenaires au sein du Conseil de Sécurité, le France officielle refuse la démission du Président Habyarimana et lui réitère sa « promesse » de garant de sa propre sécurité et celle du peuple sous le drapeau onusien en même temps que celle de la Françafrique régionale.
Alors que sur le terrain militaire, la victoire du FPR était encore évitable en 1993, la France commettra une faute stratégique de minorer la capacité réelle du FPR sur le terrain diplomatique et médiatique. Se sachant déjà disqualifié au suffrage universel en raison des effets néfastes de sa victoire militaire de février-mars 1993, le FPR devrait gagner son match de la dernière chance contre la France ou mourir politique. De Mars 1993 a Août 1994, La France perdra tous ses matchs contre FPR joués à Arusha, à New York , à Kigali et dans chacune des capitales de l’Afrique des Grands Lacs. Grâce aux rapports des ONG internationales des droits de l’homme se focalisant exclusivement au « seul bourreau fiché CAMP HABYARIMANA II HUTU ET ANTI-TUTSI » et à la seule victime fichée « CAMP POPULATION Tutsi DE L’INTERIEUR ET OPPOSITION HUTU, ALLIEE DU FPR ».
Tel sera l’effet rebond de la politique française contradictoire de la balance rationnelle gagnante érigée sur la méconnaissance de son ignorance des plans déjà arrêtés de ses partenaires occidentaux pour le Rwanda II du Président Habyarimana II, politiquement déclarée mort depuis mar 1992. La Communauté internationale d’en Haut avait déjà acté la mort politique du Président Habyarimana à l’insu de la France de Paris et de la France à Kigali. La chaise de la France à Arusha et celle du Président Habyarimana à Arusha étaient actés vidés par les USA depuis juillet 1992. Considéré « politiquement » mort par « département militaire USA » déjà en mai 1994, seuls les diplomates de Washington croyaient son hypothétique « résurrection » jusqu’en mars 1994. La mort politique du Président Habyarimana sera également acté par le Vatican fin décembre 1992 par la nomination du Nouveau Nonce apostolique, suivi par son divorce avec l’Archevêque de Kigali et la Belgique catholique pro- Habyarimana. Ses royaux services seront reconnus par l’actuel Pape par sa nomination à la tête du Pouvoir exécutif de l’Etat du Vatican. Le départ de la Belgique militaire en novembre 1990 acte la reconnaissance de l’Etat de la « mort politique » irréversible du Président Habyarimana et le début d’une réconciliation plus que possible avec la 2ème génération du défunt « Mwami Mutara Rudahigwa, Léon Pierre Charles. En Février, au lendemain de l’arrivée surprise du FPR près de la porte de la Président avec un cadeau d’environ 1 million des déplacés, le Président tente de négocier son départ avec l’Ambassadeur Français en contrepartie de la protection de la France pour lui et sa propre famille.
Le Président Habyarimana sera victime de sa foi mal éclairée en « LA PAROLE DONNEE PAR LE PRESIDENT DE LA FRANCAFRIQUE ».
Et finalement, La vérité historique découverte par Président Macron n’inscrit-t-elle pas l’action de sa « France en marche » dans la continuité de la politique des prédécesseurs pour la Françafrique , alternant trahison au service des intérêts de la France Métropole et amitié choisie au service de l’intérêt vrai de la France du Président de Gaulle au Président Hollande ?
La perméabilité entre le Rwanda 2021 du Professeur Duclert » et le Rwanda 1991-2021 du Professeur CHRETIEN
Depuis 1991, le Professeur Jean Pierre a fait le choix de se doter d’une nouvelle grille de la REECRITURE de l’HISTOIRE du Rwanda, construite sur le clivage post-natal entre Hutuland raciste et Tutsiland victime, entre le nazisme contagieux hutu allemand et la Shoah tutsi juive , entre la majorité Hutu porteuse d’un complexe d’infériorité et multi-résistant à la thérapie par l’acquisition d’un diplôme universitaire voire d’un grade académique de professeur d’université . Et la minorité Tutsi est éternellement taxée de complexe de supériorité : ressenti imaginaire Hutu, créé post-colonial du Parmehutu – Père et du Parmehutu-Fils, MRND.
En effet, son nouveau logiciel d’analyse de la tragédie du Rwanda depuis 1991 n’est qu’un remodelage de son logiciel pour le Burundi des Présidents portant l’identité de naissance « Hima-Tutsi ». Grille reposant sur la « vérité historique inventée dite scientifique » de l’invasion du Burundi dit homogène par le racisme anti-Tutsi des Hutu venant du Rwanda du Parmehutu-Père sous la direction de Monsieur Kayibanda, chef de l’extrémiste hutu de mars 1957 à juillet 1973. D’après l’Historien université et directeur du Centre nationale recherche scientifique ( CNRS), l’effet de l’infiltration du racisme hutu rwandais dans les foyers hutu burundais sera le double génocide : le génocide des Tutsi et le génocide réactionnaire et sélectif des Hutu.
Dans les pas de son confrère parisien, l’équipe du « Professeur Declert » fera une découverte en 2021 à partir seulement des Archives de Paris de la population rwandaise répartie en deux castes scientifiques statiques : la caste homogène des victimes tutsi et la caste homogène des bourreaux hutu.
Pour les deux historiens universitaires parisiens , le génocide rwandais, requalifié de génocide des Tutsis par la constitution rwandaise de 2003 et promulguée par le Président KAGAME, fut planifié avant même l’assassinat des Présidents rwandais et burundais dans la nuit du 6 avril 1994. Selon l’équipe trinitaire ( Hu, Tutsi, Français) sous la direction du professeur CHRETIEN, le génocide des Tutsi de 1994 n’est qu’une répétition et une génération des génocides que subissent les Tutsis depuis le 1er novembre 1959. En outre, son équipe prédit deux nouveaux génocides : véritable génocide des Tutsi et génocide sélectif réactionnaire pour les Hutu de l’intérieur. Et la cause de ce double génocide probable sera déclenché par le refus de la communauté internationale à collaborer avec le 1er Etat rwandais sous la houlette du Président KAGAME, effectivement Etat-Nation et République égalitaire et réellement démocratique, pour neutraliser les bourreaux fichés Hutu et en même temps éliminer le racisme post-natal Hutu . Au sein de la diaspora Hutu, ce racisme exclusivement hutu constituent le fondement de l’éducation hutu familiale et sociale. Il prospère en Occident derrières les appellations trompeuses : Association des jeunes, des femmes , ONG des droits de l’homme , Société civile, Eglise, Médias , Parti politique, etc.
Force est de constater que le diagnostic CHRETIEN et ses traitement curatif et préventif du nazisme contagieux hutu du Rwanda sont une découverte « franco-rwandaise ».
-Monsieur Jean Pierre Chrétien : Historien et directeur de recherche au Centre de recherches africaines, université Paris-I.
-Monsieur Marcel Kabanda- Tutsi : « docteur en histoire et spécialiste de la région des Grands Lacs »
-Monsieur Joseph Ngarambe- Hutu : « économiste et consultant, un des rescapé des massacres d’avril 1994 ».
La perméabilité entre le Rwanda 2020 du Professeur Jöel KOTEK et le Rwanda 2021 du Professeur DUCLERT
Dans un contexte virulent, déclenché par la mobilisation internationale de l’Etat rwandais avec l’appui des réseaux internationaux de l’Association IBUKA- Représentant officiel interne et international des droits des victimes vivants et de la sauvegarde de la mémoire des victimes mortes ddu génocide des Tutsi d’avril 1994-, pour alerter l’Etat belge de la contamination plus que probable du Covid-nazisme hutu. Par le « vecteur » sous l’appellation « Maître Uwase », subira la contamination par contact et par aéroportée la Commission parlementaire belge mandatée pour étudier le contentieux historique coloniale entre l’Etat belge et l’Afrique belge. Par l’intermédiaire du journaliste de la « Radio-Télévision » de l’Etat rwandais , le professeur TOKET assurera la vulgarisation sa doctrine de la responsabilité pour autrui , du nazisme allemand hutu et de la shoah juive tutsi. Il choisira la capitale française qui abritait le 20 novembre 2020 la conférence des « Amis » du Gouvernement et de la branche internationale IBUKA en vue de sauver la Belgique de l’invasion programmée du nazisme hutu à travers la participation du Maître Uwase à la dite Commission parlementaire sur la période coloniale belge en Afrique des Grands Lacs. Maître Uwase - citoyenneté belge et avocate établie en Belgique-, mineure en 1994 a été effectivement contaminée par son père porteur d’identité de naissance hutu. Sa contamination a été optimalisée par ses amitiés avec l’Association Jambo, regroupant des jeunes belges ayant des ancêtres paternels d’identité de naissance Hutu. Pour éviter la contamination, le Professeur TOKET en même conseiller auprès du parlement bruxellois s’associe aux « Amis » de l’Etat rwandais et de l’Association internationale « IBUKA » pour mettre fin immédiate à la participation du Maître Uwase à la dite commission parlementaire.
Lors de « cette FATWA lancée à la Télévision rwandaise contre la personne du Maître Uwase par un des éminents spécialiste de la Shoah et des responsables des institutions dédiées à la Shoah, était présence deux principaux leaders de l’IBUKA BELGE. Histoire se répéte-t-elle à Paris ? . En 1995, l’Equipe du Professeur Chrétien comprenait deux Rwandais hyper-diplômés et acteurs actifs de l’Histoire. En 2020, le Professeur KOTEK était l’invitée entourée par deux « éminents » représentants du Rwanda mutilé et souillé par le génocide rwandais requalifié génocide des Tutsis d’abord par la section belge de l’Association IBUKA en 1995 , ensuite par l’Etat rwandais en 2003 et enfin par l’Assemblée générale en de l’ONU en 2017.
La perméabilité entre le Rwanda « TOKET-CHRETIEN » et le Rwanda « Nahimana-Abbé Kagame ».
De 1895 à nos jours, le Rwanda de la civilisatrice écrite ultra-minoritaire constitue un gisement inépuisable du racisme enveloppé dans diplômes avec le sceau « Rwanda » et le sceau « Europe occidentale » et l’Amérique du Nord.
Tous les génocides multidimensionnels infligés au peuple de 1921 , avec ou sans effusion de sang, médiatisés et voilés , ont été préparé et exécuté nos diplômés de l’Ecole « Rwanda » : « Nyanza », Astrida, Grand séminaire, petit séminaire, université, Institution pédagogique, etc. Il est quasi-impossible de faire l’inventaire des diplômés docteurs et diplômés « fils et filles du Dieu importé en février 1900.
L’Abbé Kagame , 1er docteur rwandais nous a laissé un héritage inégalable et pourtant porteur du Covid- destructeur du Rwanda, Etat-Nation et du Rwanda, individu de droit et citoyen de droit. Son œuvre scientifique et polyvalente est érigée sur une doctrine du Rwanda , éternelle propriété privée de Gihanga Tutsi, Nyiginya Tutsi et de son éternelle famille Tutsi.
Monsieur Nahimana, docteur en Histoire et spécialiste reconnu de l’Histoire, culture et civilisation des « Etats » des Rois du dehors de la région Nduga depuis le XVe siècle jusqu’en 1931, nous lui devons des informations inégalables et créatrices du Rwanda unitaire et pluri-identitaire . Et pourtant , ses travaux hautement scientifiques sont infiltrés sont par des germes sapant la coexistence pacifique et durable « Nord-Sud » et « Hutu-Tutsi » . Du point de vue idéologique, le professeur Nahimana et le professeur Abbé Kagame affirment que les noms « Rwanda » et « Kanyarwanda » sont création « Tutsi ». Tous les deux ont donné leur cachet « scientifique » à l’idéologie de zéro degré de parenté entre les Rwandais Tutsi et les Rwandais Hutu. L’abbé A. Kagame affirme que les Rwandais tutsi primitif avait même une peau bronzée et une origine européenne caucasienne et une origine africaine abyssinienne . Gihanga « historique » aurait créé l’Empire Rwanda au XIIe sous le modèle de L’Empire d’Ethiopie, créé vers le Xe siècle et 1ère patrie africaine des ascendants Tutsi. La doctrine Rwanda de Gihanga Tutsi et abyssinien est largement théorisée en Kinyarwanda dans les deux tomes « INGANJI » et dans son immense œuvre en français la colonne véritable des œuvres du Professeur et Abbé Kagame, en Kinyarwanda -deux tomes Inganji Karinga- et en français, 1943-1981. La doctrine du professeur Nahimana est théorisée notamment dans son livre publié en 1993 en France sous le titre « Le Rwanda : Emergence d’un Etat. Depuis 1995, l’idéologie de l’Abbé Kagame assimilant le Rwanda exclusivement aux Rwandais Tutsi est ressuscitée par certains « savants » actifs à Kigali, docteurs et professeurs.
La nouvelle doctrine occidentale du nazisme « bantu-hutu » au Rwanda et en Afrique des Grands Lacs n’est qu’une reformulation européenne des thèses occidentales de l’Homme noir et des thèses belges/allemandes et missionnaires catholiques du Rwanda pré-république . En février 1900, le Rwanda était fiché conquête et propriété de la race blanche Tutsi. En 1959, le Rwanda a été décrété propriété de la race nègre bantu hutu.
La « modernité » du néo-racisme au sein des cercles académiciens belgo-français universitaire anti- Rwanda unitaire et pluri-identitaire est essentiellement d’ordre terminologique. Depuis 1995, Le terme « race blanche hamite- tutsi » est remplacé par le terme « la race blanche juive tutsi ». Et « la malédiction de la race noire bantu- hutu » est remplacé par « le nazi allemand bantu-hutu ».
Le professeur Jean Pierre Chrétien incarne le caméléonisme « scientifique ». Au lendemain de la victoire du Président Ndadaye a changé sa grille de lecture pour le Burundi . En 1991, elle a changé sa grille de lecture pour le Rwanda du régime du Président Habyarimana . Jusqu’au 30 septembre 1990, le président Habyarimana était sous la plume de Monsieur CHRETIEN le véritable ami de la minorité Tutsi.
Depuis les années 60 jusqu’à la défaite du Président Buyoya, il était reconnu comme le meilleur défenseur de la thèse selon laquelle le Rwanda comme son frère faux- jumeau était scientifiquement mono-ethnique.
En 1994, il inventera la théorie de deux types d’ethnie en Afrique des Grands Lacs en vue de pour qualifier le génocide rwandais en génocide de l’ethnie/race Tutsi et en shoah juive Tutsi:
- 1 Ethnie scientifique ( Hutu, Tutsi-Hima , Twa) au Rwanda/Burundi : sa
-une ethnie/ race : réelle et non scientifique Tutsi : Victime
-une ethnie/race : réelle et non scientifique nazie « hutu-bantu .
Ainsi, le génocide des Tutsis d’avril 1994 doit être compris comme génocide des Tutsi en tant qu’ethnie/race réelle et non scientifique, précise-t-il en en 1998 dans sa communication à la Mission d’information parlementaire française dite « Enquête sur la tragédie rwandaise (1990-1994).
MA CONCLUSION PROVISOIRE
- La modification de l’ADN RWANDA-MUNYARWANDA est à la fois une entreprise commune des savants rwandais et clients du Prince au pouvoir depuis le MWAMI MUTARA RUDAHIGWA.
- Tout prince au pouvoir installe son véritable gouvernement réel quoique virtuel en Occident et d’un gouvernement fantôme à Kigali. Les universitaires « TOKET-CHRETIEN-DUCLERT » en seraient-ils membres ?
- La conclusions du Rapport « Professeur Duclert » étaient déjà écrite avant même la consultation des Archives. Elle se trouve dans la préambule de la constitution du Rwanda de 2003 et de 2015, promulguées respectivement par le Président Kagame. La valeur ajoutée du Rapport « Professeur Duclert » a donné un support avec cachet scientifique au Président Macron confessait politiquement et publiquement son alignement à l’Evangile constitutionnel du Rwanda génétiquement modifié.
- Le vrai destinataire du Rapport « Duclert » n’est ni la France ni les victimes du génocide des Tutsis, morts et rescapés. Le rapport est destiné au public des vrais Rwandais et des vrais Rescapés. Autrement dit, le Président Macron avait besoin de ce rapport pour officialiser ses relations avec son « Ami rwandais ». Et le Président Kagame a besoin du « Prédicateur Macron » pour administrer l’anesthésie générale aux « anti-France » de son propre camp, notamment le docteur Bizimana et Monsieur Ndahiro, respectivement promu Ennemi n°1 des génocidaires et négationnistes du génocide des Tutsis et 1er spécialiste officiel du génocide des Tutsis .
- Le rapport « Professeur Duclert » ne devrait-il pas être pris pour un rapport purement scientifique. Il s’agit d’un rapport d’un homme scientifique se comportant d’abord comme un citoyen digne au service de la cause la plus noble et hautement citoyenne qui soit , celle de l’intérêt vrai de son éternelle Patrie, la France. Il s’est offert en donnant gracieusement le cachet scientifique et son titre académique à un rapport profondément destiné à des fins politiques.
- Le Président Macron n’inscrit-t-elle pas l’action de la France en marche dans la lignée de la politique Françafrique , alternant trahison au service des intérêts de la France Métropole et amitié au service de la France des Français ?
Les présidents Macron et Kagame ont tourné la page d’une démocratie à contrat à durée indéterminée. Qu’importe la durée et la solidité du pont construit avec les « matériaux » du Professeur Duclert. Qu’importe également l’effet rebond éventuel de ce pont « Macron- Kagame » sur les droits du Munyarwanda, en quête depuis octobre 1962 du Rwanda, sa véritable patrie et son véritable Etat-Nation , et d’être reconnu comme individu de droit et un citoyen de droit.