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Publié par La Tribune Franco-Rwandaise

RWANDA DU RAPPORT « PROFESSEUR DECLERT:  NOUVELLE DECOUVERTE OCCIDENTALE  DU RWANDA 2021  DU BOURREAU GENOCIDAIRE FICHE HUTU ET DE SA  VICTIME FICHEE TUTSI.

Introduction.

Depuis sa publication, le mystérieux Rwanda découvert par l’équipe scientifique du Professeur  DUCLERT ;  membre d’une des castes   prestigieuses de la méritocratie républicaine ; suscite encore  de  réactions hétérogènes et  beaucoup plus nombreuses que les nouveaux  experts auto-proclamés du « Rwanda génétiquement modifié » .

Sur les marchés intérieur et extérieur des intérêts particuliers  toxiques et individuels ambivalents   , l’ADN  du  « Rwanda primitif  » et  l’ADN du « Munyarwanda  adamique  » ont été délibérément modifiés . Ainsi,  Le Rwanda-Patrie et Nation-  fut transformé en   une  marque commerciale multifonctionnelle et juteuse  sous la nouvelle  appellation contrôlée  et mutante :   « vrai MUNYARWANDA », «vrai Rescapé », vrai Repenti, vrai Patriote, vraie Diaspora, etc.

  Les    cercles  des académiciens ,   rwandais et occidentaux,  de génération « Père/Mère  » et  de génération  « Fils/Fille » , cherchent  encore la valeur ajoutée  du Rapport2021   « Professeur Duclert » au « pas encore    hypothétique  concernant  les comportements souvent antagonistes  de la  France plurielle au   Rwanda d’octobre 1990- août 1994 .   A la quasi unanimité,   le monde universitaire   fait un constant  d’un  fossé entre  le  contenu du Rapport  et  son cachet  scientifique   décrété     par  la  France en marché du  Président  Macron  et  le  Singapour africain du  « Président Kagame ».

De l’intérieur de la France d’en haut ,  les conclusions du Rapport « Professeur Duclert » seront majoritairement inacceptables   par  la France politique et diplomatique,  la France civile et militaire,  la France  républicaine socialiste et  la  France républicaine conservatrice.

Quatre raisons principales  fondant le doute scientifique du  cachet scientifique discerné au  Rapport «  Professeur DUCLERT ».

Sous  la 5ème République Française , le Chef de l’Etat incarne l’Autorité suprême  conférée par  le peuple souverain et  pour une durée déterminée.  Le Président n’est pas  l’éternelle France, Etat-Nation.  De même, le caractère scientifique du  Rapport « DUCLERT » n’est pas pas  lié aux grades académiques des membres de la Commission placée sous sa direction .  Le doute créateur des académiciens rwandais et européens   fut réactivé seulement  par le lien créée par l’Exécutif entre le  contenu du rapport et son cachet scientifique produit.  Rapport commandé par le Président Macron avec l’objectif et son usage  clairement définis.   But matérialisé en même temps  par le rapport en lui-même et sa livraison au Président Kagame par le Professeur DUCLERT.  Mode de livraison inhabituelle  circuitant  les canaux diplomatiques habituels.

Rareté d’au moins un article scientifique sur le Rwanda   du  Professeur Duclert

Toute « vérité scientifique » repose  au minimum sur les sources  réellement indépendantes,  les faits  indiscutables et accessibles,  qualitativement  représentatives et quantitativement suffisantes.

Agissant comme professeur d’université, Monsieur Duclert informe le lecteur de  l’inaccessibilité de  son équipe   à la totalité des archives  de la France officielle concernant la période litigieuse :  Présidence,  primature, ministères des affaires étrangères, de la coopération, de la défense, assemblée nationale.

Il précise également que  son équipe   a délibérément choisi  d’éliminer les sources  émanant d’autres acteurs de l’Histoire du drame du peuple rwandais entre  octobre 1990 et août 1994.  Choix étrange de la part d’une équipe universitaire  de se priver  des données  et pourtant disponibles   concernant un   conflit où se mêlent les acteurs nationaux et internationaux , anciens et nouveaux,  le pluralisme juridique et le pluralisme civilisationnel, les intérêts opposés et les intérêts convergents sur le marché local et sur le marché politique et économe dit  « Afrique des Grands Lacs » ?

 Sur le terrain  strictement scientifique ,  comment  peut-on décortiquer  un document écrit : isolé de son environnement < père et mère » voir « fils et fille » ,  multi-dimensionnel  et multifonctionnel, abritant les acteurs locaux et internationaux,  anciens et nouveaux, poursuivant tantôt les intérêts convergents et tantôt les intérêts antagonistes ? La maîtrise de l’Histoire politique du Rwanda de l’Oralité et du Rwanda de l’Ecriture,  du Rwanda socio-politique  coutumier et moderne, du Rwanda pluri-culture  et pluri-juridique,     ne constitue-t-elle   un  atout préalable  pour engager un dialogue entre les vivants, victimes et bourreaux  et entre les morts et pourtant vivants ?

Les particularismes de la  Commission scientifique sous la direction du Professeur

Sous la Vème République,  la constitution d’une commission des experts et des  scientifiques  repose sur le lien entre  l’objet de la mission et  l’optimisation de l’addition voire la multiplication des compétences individuelles  et reconnues à chacun de ses membres  . Par exemple,  la  Commission nationale   « Covid-19 » est constituée des scientifiques et des experts  de la santé  au sens de l’OMS : praticiens au quotidien et chercheurs au quotidien  du  secteur de la santé,  se focalisant essentiellement aux  infections virales  respiratoires aéroportées ».

Force est de constater que pour  le contentieux « Rwanda-France »,  virulent et de  nature  politico- militaire et diplomatique et médiatique,   le Président Macron a délibérément choisi de se doter d’une commission basse gamme.   Commission  interdite à tous les meilleurs  universitaires et experts du Rwanda d’en haut et du Rwanda d’en bas, y compris ceux qui ont participé en 1998 à l’Enquête parlementaire  sur la tragédie rwandaise (1990-1994) .   Seront également les    experts et universitaires auprès du Tribunal international pénal pour le Rwanda.

L’attitude du Président Macron m’a rappelé le départ manu militari du dernier procureur effectivement indépendant du Tribunal Pénal international pour le Rwanda à Arusha. En 2003,  Madame Carl Del Ponte  pour « crime »  d’insoumission »  aux  ordres du Généra Kagame à la tête du FPR triplement vainqueur – politique , militaire etdiplomatique  et aux ordres de Son employeur ambivalent, le   Conseil de Sécurité de Sécurité . En théorie,  le   garant universel  de l’inviolabilité du  droit  pénal international. En pratique,  instrument  à des fins politiques  de chacun de ses éternels Etats fondateurs et en même temps ses  éternels principaux généreux  donateurs 

Le cachet scientifique à  la  thèse du Rwanda de la  Constitution rwandaise 2003/2015  du génocide planifié

La découverte spectaculaire  par l’équipe du Professeur Duclert  de l’existence du plan du génocide des Tuts ne serait-elle pas sa valeur ajoutée  pour le Tribunal international pour le Rwanda et toutes les victimes aspirant à une justice internationale enfin rompue avec le triage entre les victimes et entre leurs bourraux ?  L’équipe du Professeur Duclert est affirmatif :  Le plan génocidaire était déjà arrêté  avant  la  mort provoqué  du Président Habyarimana    le  6 avril 1994.   Vérité dormante dans les archives officiels et  cachée  par le pouvoir exécutif aux pouvoirs judiciaire  et parlementaire  et   à toutes les instances onusiennes,  à tous les experts des services de renseignements militaires et  civils de tous  ses partenaires européens et occidentaux  de par le monde ?   Vérité historique sortie des archives de Paris ou   une   vérité politique  délibérément choisie    par le Président Macron  et  maquillée  par   par le rapport   Duclert  ?

L’identité réelle  du bénéficiaire de la politique de la France au Rwanda de 1990 à 1994 ?

Tout observateur avisé  des comportements souvent  de la  France  dans la zone Françafrique  souvent antagonistes de la France Métropole et de la France des officiels ,aboutira à la conclusion selon laquelle  qu’au nom de ses intérêts d’abord,  l’attitude de la  France est similaire à celles de  ses éternels rivaux et en même temps partenaires historiques .  En fonction du marché  convoité et des rapports de force entre    acteurs locaux et  entre les acteurs internationaux , la France se forge des armes adaptés à l’optimalisation de son propre qu’importe l’effet rebond pour la population locale.   Dévoilée, elle tient son éternel discours pour ses adversaires occidentaux d’abord. Voilée, elle fait ou défait les régimes locaux, renforce ses alliances anciennes ou les remplace par les nouvelles alliances. Parfois, elle lui réussit à  imposer des compromis instables entre ses nouveaux alliés et ses alliés d’hier.

La lecture attentive des  documents officiels entre les « dires » du Président Mitterrand et les « dires » du Président Habyarimana atteste que  la France n’a jamais été favorable à une victoire militaire du Président Habyarimana. Au contraire, sa politique ambivalente a fait malgré elle  un allié objectif de la triple victoire du  FPR : faciliter la conquête irréversible d’un territoire de Byumba  frontalier avec l’Uganda, refuser à l’Etat rwandais l’acquisition des armes en capacité de défaire le FPR,  imposer au Chef de l’Etat l’acceptation de l’Accord de Paix  inapplicable au Rwanda II du régime d’Habyarimana II  issu de la nuit du 4 au 5 octobre 1990  et de l’accord « UNAR DU DEFUNT MUTARA -PARMEHUTU DU DEFUNT KAYIBANDA  » à Bruxelles mai-juin 1962.

contexte virulent, création de la 1ère et dernière expédition du FPR  dite punitive dirigée contre le camp Habyarimana « MRND-CDR », menée le 8 février  à la surprise générale de la France militaire et de l’Armée gouvernementale et même  à ses « ses vrais partenaires et démocrates »  en contrat à durée déterminé, recrutés  à Bruxelles en mai 1992.  

La France de Mitterrand,  fichée « Amie inconditionnelle » du Régime II  d’Habyarimana II  ;  après avoir  constaté  que l’Armée issue  de la nuit du 4 au 5 octobre 1990   se distinguaient par   les défaites depuis janvier 1991 ,   et  malgré sa remise en niveau depuis 1991  par la France militaire hautement qualifiée  depuis trois ans ;  a choisi de se retirer militairement plutôt de subir la défaite militaire et humiliation sur un terrain africain.

Décision brutalement sous le péril plus que probable  FPR et sans  a consultation préalable avec ses partenaires au sein du Conseil de Sécurité,  le France officielle refuse la démission du Président Habyarimana et lui réitère sa « promesse » de garant de sa propre sécurité et celle du peuple sous le drapeau onusien  en même temps que celle de la Françafrique régionale.

Alors que sur le terrain militaire, la victoire du FPR était encore évitable en 1993, la France commettra une faute stratégique de minorer la capacité réelle du FPR sur le terrain diplomatique et médiatique. Se sachant  déjà disqualifié au suffrage universel  en raison des effets néfastes de sa victoire militaire de février-mars 1993, le FPR devrait gagner son match de la dernière chance contre la France ou mourir politique.   De Mars 1993 a  Août 1994, La France perdra tous ses matchs contre FPR joués  à Arusha, à New York , à Kigali  et dans chacune des capitales de l’Afrique des Grands Lacs. Grâce   aux  rapports  des ONG internationales des droits de l’homme se focalisant exclusivement au « seul bourreau fiché CAMP HABYARIMANA  II  HUTU ET  ANTI-TUTSI    » et à la seule victime fichée «  CAMP POPULATION  Tutsi DE L’INTERIEUR ET OPPOSITION HUTU, ALLIEE DU FPR ». 

Tel sera l’effet  rebond de la politique française contradictoire  de la balance rationnelle gagnante  érigée sur la  méconnaissance de son ignorance des plans déjà arrêtés  de ses partenaires occidentaux  pour le Rwanda II du Président Habyarimana II, politiquement déclarée  mort  depuis mar 1992.  La  Communauté internationale d’en Haut avait déjà acté  la mort politique du Président Habyarimana à l’insu de la France de Paris et de la France à Kigali. La  chaise de la France à Arusha  et celle du Président Habyarimana à Arusha  étaient actés vidés  par les USA depuis juillet 1992.  Considéré  « politiquement » mort par «  département militaire USA » déjà  en mai 1994, seuls les diplomates de Washington  croyaient  son hypothétique  «  résurrection » jusqu’en mars  1994.   La mort politique du Président Habyarimana sera également acté par le Vatican  fin décembre 1992 par la nomination du Nouveau Nonce apostolique,  suivi par son divorce  avec l’Archevêque de Kigali et la Belgique catholique pro- Habyarimana.  Ses royaux services seront reconnus par l’actuel Pape  par sa nomination à la tête du Pouvoir exécutif de  l’Etat du Vatican.  Le départ de la Belgique militaire en novembre 1990  acte la reconnaissance de l’Etat de la « mort politique » irréversible du Président Habyarimana et le début d’une réconciliation plus que possible avec la 2ème génération du défunt «  Mwami Mutara Rudahigwa,  Léon Pierre Charles.  En Février,  au lendemain de l’arrivée surprise du FPR près de la porte de la Président avec un cadeau d’environ 1 million des déplacés, le Président tente de négocier son départ avec l’Ambassadeur Français  en contrepartie de la protection   de la France pour lui et sa propre famille.

Le Président Habyarimana sera  victime de sa foi mal éclairée en « LA PAROLE  DONNEE  PAR  LE PRESIDENT DE  LA FRANCAFRIQUE ».

Et finalement, La vérité historique découverte par  Président Macron n’inscrit-t-elle pas   l’action de sa «  France en marche »  dans la continuité de la politique des prédécesseurs pour   la Françafrique ,  alternant trahison au service des intérêts de la France Métropole  et amitié choisie  au service de l’intérêt vrai de la  France du Président de  Gaulle au Président Hollande  ?

La perméabilité entre le Rwanda 2021  du  Professeur Duclert » et  le Rwanda 1991-2021  du Professeur CHRETIEN

Depuis 1991, le Professeur Jean Pierre a fait le choix de se doter  d’une nouvelle grille de la REECRITURE  de l’HISTOIRE du Rwanda,    construite sur le clivage post-natal entre  Hutuland raciste  et Tutsiland victime,  entre le nazisme contagieux  hutu allemand   et la Shoah  tutsi juive , entre la majorité Hutu porteuse d’un complexe d’infériorité et multi-résistant à la thérapie par l’acquisition d’un diplôme universitaire voire d’un  grade académique de  professeur d’université . Et la minorité Tutsi est  éternellement  taxée de  complexe de supériorité :  ressenti  imaginaire Hutu,   créé post-colonial du   Parmehutu – Père et  du Parmehutu-Fils, MRND.

En effet, son nouveau logiciel d’analyse de la tragédie du Rwanda depuis 1991 n’est qu’un remodelage de son logiciel  pour le Burundi des  Présidents portant l’identité de naissance « Hima-Tutsi ».  Grille reposant sur la « vérité historique inventée   dite scientifique » de l’invasion du Burundi dit  homogène par le racisme anti-Tutsi des Hutu venant du Rwanda  du Parmehutu-Père sous la direction de Monsieur Kayibanda,  chef de l’extrémiste hutu de mars 1957 à juillet 1973.    D’après l’Historien  université et directeur du Centre  nationale  recherche scientifique ( CNRS),   l’effet de l’infiltration du racisme hutu rwandais  dans les foyers hutu burundais sera le double génocide : le génocide des Tutsi et le génocide réactionnaire et sélectif des Hutu. 

Dans les pas de son confrère parisien, l’équipe du  « Professeur Declert »  fera une découverte en 2021 à partir seulement des Archives de Paris de  la population rwandaise  répartie en deux castes scientifiques statiques :   la caste homogène des victimes tutsi et la caste homogène des bourreaux hutu.

Pour les deux historiens  universitaires parisiens  , le génocide rwandais,  requalifié de  génocide des Tutsis par la constitution rwandaise de 2003 et promulguée par le Président KAGAME,    fut planifié avant même l’assassinat des Présidents rwandais et burundais dans la nuit du  6 avril 1994.  Selon l’équipe trinitaire ( Hu, Tutsi, Français) sous la direction du professeur CHRETIEN, le génocide des Tutsi de 1994 n’est qu’une répétition et une génération des génocides que subissent les Tutsis depuis le 1er novembre 1959.  En outre, son équipe   prédit deux nouveaux génocides :  véritable génocide des Tutsi et génocide sélectif réactionnaire pour les Hutu de l’intérieur. Et la cause  de ce double  génocide probable sera déclenché par  le refus de la communauté internationale à collaborer avec le 1er Etat rwandais sous la houlette du Président KAGAME, effectivement  Etat-Nation  et République égalitaire et réellement  démocratique,   pour neutraliser les bourreaux fichés Hutu et en même temps   éliminer le racisme post-natal Hutu . Au sein de la diaspora Hutu, ce racisme exclusivement hutu constituent le fondement de l’éducation hutu  familiale et sociale. Il prospère en Occident  derrières les appellations trompeuses  : Association des jeunes, des femmes ,    ONG des droits de l’homme , Société civile,  Eglise,  Médias , Parti politique,  etc.  

Force est de constater que le diagnostic CHRETIEN et ses traitement curatif et préventif du nazisme contagieux hutu du Rwanda sont une découverte « franco-rwandaise ». 

-Monsieur Jean Pierre Chrétien : Historien et directeur de recherche au Centre de recherches africaines, université Paris-I.

-Monsieur Marcel  Kabanda- Tutsi  : « docteur en histoire et  spécialiste de la région des Grands Lacs »

-Monsieur Joseph Ngarambe- Hutu  :  «  économiste et consultant,   un des rescapé des massacres d’avril 1994 ».

La perméabilité entre le Rwanda 2020  du Professeur Jöel KOTEK   et le Rwanda 2021 du Professeur DUCLERT

Dans un contexte  virulent,   déclenché par  la  mobilisation  internationale de l’Etat rwandais  avec  l’appui des réseaux internationaux  de l’Association IBUKA- Représentant officiel  interne et international  des droits des victimes vivants et de la sauvegarde de la mémoire des victimes mortes ddu génocide des Tutsi d’avril 1994-,  pour alerter  l’Etat belge de la contamination plus que probable du Covid-nazisme hutu. Par le « vecteur » sous l’appellation « Maître Uwase »,   subira la contamination par contact et par aéroportée   la  Commission parlementaire belge mandatée pour étudier le contentieux historique  coloniale entre l’Etat belge et l’Afrique belge.  Par   l’intermédiaire du journaliste de la  « Radio-Télévision »  de l’Etat rwandais , le professeur TOKET assurera la vulgarisation   sa doctrine de la responsabilité pour autrui , du nazisme allemand hutu  et de la shoah juive tutsi.  Il choisira la capitale française qui abritait le 20 novembre 2020 la conférence des « Amis » du Gouvernement et de la branche internationale IBUKA en vue de sauver la Belgique de l’invasion programmée du nazisme hutu  à travers la participation du Maître Uwase à la  dite Commission parlementaire  sur la période coloniale belge en Afrique des Grands Lacs.  Maître Uwase - citoyenneté belge et avocate établie en Belgique-,  mineure en 1994 a été effectivement contaminée par son père porteur d’identité de naissance hutu. Sa contamination a été optimalisée par ses amitiés avec  l’Association Jambo, regroupant des jeunes belges ayant des ancêtres paternels d’identité de naissance Hutu.  Pour éviter la contamination, le Professeur TOKET en même conseiller auprès du parlement bruxellois s’associe aux « Amis » de l’Etat rwandais et de l’Association internationale « IBUKA » pour mettre fin immédiate à la participation du Maître  Uwase à la dite commission parlementaire.

Lors de « cette  FATWA lancée à la Télévision rwandaise  contre la personne du Maître Uwase par    un des éminents  spécialiste de la Shoah et  des responsables  des institutions dédiées à la Shoah, était présence deux principaux leaders de l’IBUKA BELGE.  Histoire se répéte-t-elle à Paris ? .  En 1995, l’Equipe du Professeur Chrétien comprenait deux Rwandais hyper-diplômés et  acteurs actifs de l’Histoire. En 2020,  le Professeur KOTEK  était l’invitée entourée par deux « éminents » représentants du Rwanda mutilé et souillé par le génocide rwandais requalifié génocide des Tutsis  d’abord par  la section belge de l’Association IBUKA en 1995 , ensuite par l’Etat rwandais en 2003 et enfin par l’Assemblée générale en de l’ONU  en 2017.

La perméabilité entre le Rwanda  « TOKET-CHRETIEN » et  le Rwanda  « Nahimana-Abbé Kagame ».

 De 1895 à nos jours, le Rwanda de la civilisatrice écrite ultra-minoritaire constitue un gisement inépuisable du racisme enveloppé dans diplômes avec le sceau « Rwanda » et le sceau « Europe occidentale » et l’Amérique du Nord.

Tous les génocides multidimensionnels infligés au peuple de 1921 ,  avec ou sans effusion de sang, médiatisés et voilés , ont été préparé et exécuté nos diplômés de l’Ecole «  Rwanda » : « Nyanza », Astrida,  Grand séminaire, petit séminaire, université, Institution pédagogique,  etc.  Il est quasi-impossible de faire l’inventaire des diplômés docteurs et diplômés « fils et filles   du Dieu importé  en février 1900.

L’Abbé Kagame ,  1er docteur rwandais  nous a laissé un héritage  inégalable et pourtant porteur du  Covid- destructeur du Rwanda, Etat-Nation et du Rwanda, individu de droit et citoyen de droit. Son œuvre scientifique et polyvalente est  érigée sur une doctrine du  Rwanda , éternelle  propriété privée de  Gihanga Tutsi, Nyiginya Tutsi et de son éternelle famille Tutsi.

Monsieur Nahimana, docteur en  Histoire et spécialiste reconnu de l’Histoire, culture et civilisation des « Etats » des Rois du dehors de la région Nduga depuis le XVe siècle jusqu’en 1931,  nous lui devons des  informations inégalables  et créatrices du Rwanda unitaire et pluri-identitaire . Et pourtant , ses travaux hautement scientifiques sont infiltrés sont par  des germes sapant  la coexistence pacifique  et durable « Nord-Sud » et « Hutu-Tutsi » .  Du point de vue idéologique,  le professeur Nahimana  et le professeur  Abbé Kagame affirment  que les noms  « Rwanda » et  « Kanyarwanda »  sont création « Tutsi ».  Tous les deux ont donné leur  cachet « scientifique » à l’idéologie de zéro degré de parenté entre les Rwandais Tutsi et les Rwandais Hutu.  L’abbé A. Kagame affirme que  les Rwandais tutsi primitif avait même  une peau bronzée et une origine européenne  caucasienne  et une origine africaine abyssinienne . Gihanga « historique » aurait créé l’Empire  Rwanda au XIIe sous le modèle de L’Empire d’Ethiopie,  créé vers le Xe siècle et 1ère patrie africaine des ascendants Tutsi.  La doctrine  Rwanda de Gihanga Tutsi et abyssinien est largement théorisée en Kinyarwanda dans les deux tomes « INGANJI » et dans son immense œuvre en français   la colonne véritable des œuvres du Professeur et Abbé  Kagame, en Kinyarwanda -deux tomes Inganji Karinga- et en français, 1943-1981.  La doctrine du   professeur Nahimana est théorisée   notamment  dans son livre publié en 1993 en France sous le titre «  Le Rwanda : Emergence d’un Etat.  Depuis  1995, l’idéologie de l’Abbé Kagame assimilant le Rwanda exclusivement aux Rwandais Tutsi est ressuscitée par certains « savants » actifs à Kigali, docteurs et professeurs. 

La nouvelle doctrine occidentale du nazisme « bantu-hutu » au Rwanda et en Afrique des Grands Lacs n’est qu’une reformulation européenne  des thèses occidentales  de l’Homme noir et des thèses belges/allemandes  et missionnaires catholiques  du Rwanda pré-république .  En février 1900, le Rwanda était fiché conquête et propriété de la race blanche Tutsi. En 1959, le Rwanda a été décrété propriété de la race nègre  bantu hutu.

La « modernité » du néo-racisme  au sein des cercles académiciens belgo-français  universitaire  anti- Rwanda unitaire et pluri-identitaire   est essentiellement d’ordre terminologique.  Depuis 1995, Le terme «  race blanche  hamite- tutsi  » est remplacé par le terme «  la race blanche  juive  tutsi ». Et  «  la malédiction de la race noire bantu- hutu » est remplacé par «  le  nazi allemand bantu-hutu ».

Le professeur Jean Pierre Chrétien  incarne le caméléonisme «  scientifique ».  Au lendemain de la victoire du Président Ndadaye  a changé sa grille de lecture  pour le Burundi . En 1991, elle a changé sa grille de lecture pour le Rwanda du régime du Président Habyarimana .   Jusqu’au 30 septembre 1990, le président Habyarimana était sous la plume de Monsieur CHRETIEN  le véritable ami  de la minorité Tutsi. 

 Depuis les années 60 jusqu’à la défaite du Président Buyoya,   il  était  reconnu comme le meilleur défenseur de la thèse selon  laquelle le Rwanda comme  son frère faux- jumeau était  scientifiquement mono-ethnique.

En  1994,  il inventera la théorie de deux types d’ethnie en Afrique des Grands Lacs en vue de pour  qualifier le génocide rwandais en génocide de l’ethnie/race  Tutsi et en shoah juive  Tutsi:

- 1 Ethnie scientifique ( Hutu, Tutsi-Hima , Twa) au Rwanda/Burundi : sa

-une ethnie/ race :  réelle et non scientifique Tutsi : Victime

-une ethnie/race : réelle et non scientifique nazie « hutu-bantu .

 Ainsi, le génocide des Tutsis d’avril 1994 doit être compris comme génocide  des Tutsi en tant qu’ethnie/race  réelle et non scientifique, précise-t-il en en 1998 dans sa communication à la Mission d’information parlementaire française  dite «  Enquête sur la tragédie  rwandaise (1990-1994).

MA CONCLUSION PROVISOIRE

  1. La modification de l’ADN RWANDA-MUNYARWANDA est à la fois une entreprise commune des savants rwandais  et clients du Prince au pouvoir depuis le MWAMI MUTARA RUDAHIGWA.
  2. Tout prince au pouvoir installe son véritable   gouvernement réel quoique virtuel  en Occident  et d’un gouvernement fantôme à Kigali.  Les universitaires « TOKET-CHRETIEN-DUCLERT » en seraient-ils membres ?
  3. La  conclusions du Rapport « Professeur Duclert » étaient déjà écrite avant même la consultation des Archives. Elle se trouve dans la préambule de la constitution du Rwanda de 2003 et de 2015, promulguées respectivement par le Président Kagame.  La valeur ajoutée du Rapport « Professeur Duclert » a donné un support avec cachet scientifique au Président Macron confessait politiquement et publiquement son alignement  à l’Evangile constitutionnel du Rwanda génétiquement modifié.
  4. Le vrai destinataire du Rapport « Duclert » n’est ni la France ni les victimes du génocide des Tutsis, morts et rescapés. Le rapport est destiné au public des vrais Rwandais et des vrais Rescapés. Autrement dit, le Président Macron avait besoin de ce rapport pour officialiser ses relations avec son « Ami rwandais  ». Et le Président Kagame a besoin du « Prédicateur Macron » pour  administrer l’anesthésie générale aux « anti-France » de son propre camp, notamment le docteur Bizimana et Monsieur Ndahiro, respectivement  promu Ennemi n°1  des  génocidaires et négationnistes du génocide des Tutsis  et  1er spécialiste officiel  du génocide des Tutsis .
  5.  Le  rapport « Professeur  Duclert » ne  devrait-il  pas être pris   pour    un rapport purement  scientifique.  Il s’agit d’un rapport d’un homme scientifique se comportant d’abord  comme un citoyen  digne au service de la cause la plus noble et hautement  citoyenne qui soit , celle de l’intérêt vrai de son éternelle Patrie, la France.  Il  s’est offert en donnant  gracieusement   le cachet scientifique et son titre académique à un rapport  profondément destiné à des fins politiques.
  6. Le Président Macron n’inscrit-t-elle pas l’action de la France en marche  dans la   lignée de  la politique  Françafrique  ,  alternant trahison au service des intérêts de la France Métropole    et amitié au service de la France des Français   ?

Les présidents Macron et Kagame ont tourné la page d’une démocratie  à contrat à durée indéterminée.  Qu’importe la durée et la solidité du  pont construit  avec les « matériaux » du Professeur Duclert. Qu’importe également  l’effet rebond éventuel  de ce pont « Macron- Kagame »  sur les droits du Munyarwanda,  en quête  depuis octobre 1962  du Rwanda, sa  véritable  patrie et  son véritable  Etat-Nation , et d’être reconnu comme individu de droit et un citoyen de droit.

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