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Publié par La Tribune Franco-Rwandaise

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Commentaire de César :
JMV Ndagijimana invite le français Ancel pour débattre sur la tragédie rwandaise.
Il n'osera pas car il a peur d'être démasqué. Il semblerait qu'il a fait Saint-Cyr. C'est surprenant qu'un Saint-Cyrien soit intellectuellement réduit au niveau aussi bas. Il a raté son métier. S'il avait fait l'école de Comédie française, il aurait été un bon comédien. Il est un comédien de mauvaise qualité. Il prétend être pro-régime Kagame que celui-ci et les siens. Ce fait a gravement altéré son sens d'honnêteté intellectuelle la plus élémentaire. Il est frappé d'un dysfonctionnement intellectuel de sorte que pour lui le mot ridicule est un mot dépourvu de sens.
Tous ceux qui l'ont lu on pu constater que le Rwanda décrit par lui n'a jamais existé. Il mélange pêle-mêle les régimes politiques rwandais. Il travestit les faits , fait les tours des télévisions et journaux de son pays. Pour les ignorants, il est expert dans le génocide des Batutsi.
Il n'est pas le seul a fuir le débat. Le grand expert du génocide des Batutsi à savoir Bizimana JD, docteur en droit pénal international, dit-on, fuit également le débat sur ses écrits sur les crimes qui ont été commis contre les Batutsi. Uniquement contre les Batutsi car, selon ses propres déclarations publiques les crimes contre les Bahutu n'ont jamais existé puisque l'humanité s'arrête à la porte des portes de ses derniers. Pour lui les mots cynisme, indécence, et ridicule sont des morts dépourvu de sens. La singularité de Bizimana JD est que pour rendre crédibles galimatias et affabulations, il met en avant son titre de docteur en droit. Mais il sèche lorsqu'il s'agit de répondre à la question suivante: au regard de la définition du génocide donnée par la loi rwandaise et le droit international, les massacres qui ont été commis contre les Batutsi sont-ils juridiquement constitutifs de génocide? Dans l'affirmative comment et pourquoi? Le génocide étant une qualification juridique de faits criminels et nullement ceux-ci.
Auss, il sèche lorsqu'il s'agit d'éclairer objectivement les Rwandais sur la situation contextuelle dans laquelle les crimes contre les Batutsi ont été commis. En réponse à ces questions, il erre dans les faits et dans le droit. Il se fourvoie dans les jugements du TPIR alors qu'il est de notoriété publique que l'arrêt négatif de la chambre d'appel du TPIR contre Ngirumpatse et Karemera est une compilation de faits contradictoires, parcellaires et erronés et qui conséquemment témoigne la condamnation de principe de ces deux Rwandais aux seules fins de permettre au procureur Gambien, de sauver la face car incapable de prouver l'effectivité des faits invoqués par lui contre les deux accusés. Par conséquent, tout homme pourvu de discernement élémentaire ne peut oser dire que le TPIR a reconnu le génocide des Batutsi ( voir l'arrêt de la chambre d'appel du TPIR sur le site internet de celui-ci). La décision de la chambre d'appel du TPIR a fait l'objet de commentaires négatifs d'éminents juristes.
Le génocide est une question de qualité et nullement de quantité. La qualité est l'intention de commettre le crime précis. La quantité est le nombre de morts. L'intention est par conséquent substantiel au ou consubstantiel du génocide. Cette intention est prouvée par les moyens mis en œuvre pour commettre le crime d'une part et la situation précisément contextuelle dans laquelle ce crime a été commis. le constat: absence de débat sur ces points entre les Rwandais en raison du refus de Kagamé et les siens dont Bizimana JD et autres.
 
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