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Publié par La Tribune Franco-Rwandaise

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C
Il ne s'agit pas de rumeurs mais une Vérité. Les faits sont vérifiables.La CIA et tous les services secrets des pays occidentaux qui grouillent ici au Rwanda le savent et corrélativement les dirigeants de leur pays: Obama, Cameron, Michel, Hollande et autres sont parfaitement au courant. Le gouvernement rwandais a préparé les cas de déplacés burundais avant même que Nkurunziza n'annonce sa troisième candidature. Les entrainement des sans échec et renégats burundais par les ex-soldats de l'armée burundaise actuellement soldats de l'armée de Kagame ont commencé avant le coup d'Etat qui a foiré et sont encore en cours, le tout au vu et au su des Rwandais. Et pour preuve, des milliers de Rwandais ont vu la cohorte des Burundais dont certains sont vautrés dans les hôtels ici à Kigali. Ils ne se cachent pas. La Grande majorité est arrivée après le coup d'Etat manqué. Un autre élément pour étayer mes dires: les tueurs des policiers et paisibles citoyens burundais par les bombes et grénades utilisent le même opératoire qu'au Rwanda entre octobre 1990 et 6 avril 1994 et tous les ans,un mois avant l'élection présidentielle. Les poseurs de bombes sont donc des Rwandais qui ont vécu au Burundi et qui connaissent parfaitement les lieux et les cibles.Ils ont des complices. Afin qu'ils ne soient démasqués, après leurs funestes forfaits, ils retournent au Rwanda et un autre groupe prend le relais. C'est comme ça comme Kagame agisse.<br /> Au vu de l'ensemble des faits, c'est Kagame qui seme la terreur et la mort au Burundi. Il est intrinsèquement rancunier supporte difficilement l'échec. Ce fait est notoire. Le coup d'Etat qu'il avait pourtant bien planifié a foiré. Des millions de Rwandais et étrangers l'ont vu sermonner les les chefs des services de renseignements intérieurs et extérieurs relativement non pas au problème de sécurité au Burundi mais à l'échec cuisant du coup d'Etat contre Nkurunziza. Ils n'ont pas pu lui expliquer leur échec. Par ses actes terroristes caractérisés, il entend se rattrapper comme il l'a fait au Rwanda après l'émiettement de son armée le 31 décembre 1990 par les FAR. L'armée de Kagame a été émiettée par les FAR de sorte que le 31 décembre 1990, la guerre était fini.Après son échec de prendre le pouvoir par la force dans le délai qu'il s'était fixé, Kagame a opté par la terreur et lesactes terrorsites par la pose des bombes et jets de grénades dans des lieux publics partout au Rwandais, le tout avec l'aide des complices intérieurs. Tous les sept il reprend la même mise en scène macabre. Les Rwandais et étrangers ont observé qu'après son autoproclamation à la fonction de président, les crimes cessent et les assassins restent curieusement introuvables dans un Etat policier. <br /> Que peut faire le président burundais? Demander officiellemente et fermement à Kagame de mettre définitivement fin à ses méfaits.Sa première réaction sera de nier les faits évidents.Dans ce cas, le Burundi demandera à l'Union Africaine ou ONU, la cration d'une commission internationale d'enquête indépendante pour démasquer les tueurs des policiers.<br /> Alors qu'ils connaissent la vérité car certains sont souvent ici au Rwanda pour recevoir les consignes de Kagame, en déclarant publiquement que c'est leur gouvernement qui ordonne de tuer ses policiers et fait poser les bombes dans des lieux publics contre les paisibles paysans, les opposants politiques burundais se sont discrédités. Ils ont prouvé qu'ils ne sont pas dignes et aptes à diriger leur pays.Face aux cadavres de policiers burundais, leurs compatriotes, nonostant la haine qu'ils auraient contre Nkurunziza, la régle qui gouverne la civilisation humaine et distingue l'homme de l'animal, c'est la décence et la compassion à l'endroit des morts et de leurs veuves et orphelins. Par leurs déclarations cyniques, ils se sont disqualifiés et sont la honte des Africains. Aucun homme rationnel doué de discernement ne peut comprende comme les individus qui se disent opposants politiques et partant à diriger le Burundi peuvent être aussi cyniques et devant les caméras des radios et télévision du monde entier. <br /> Le président burundais doit prouver qu'il est effectivement commandant en chef et partant gardien en chef de l'ordre public dans son pays. A défaut, il coulera. Le député européen belge Louis Michel n'a-t-il pas dit qu'il va mobiliser toutes les ressources dont il dispose pour dégommer le président Nkurunziza qui, selon lui, est un hors-la-loi et dictateur et Kagame, démocrate. Il n'a pas dit ces mots à la lègère.Il savait de quoi il parlait et conséquemment il faut le prendre au sérieux. Le cas Habyalimana est la parfaite illustration.Louis Michel était à la tête des anti-Habyalimana dans son pays. Ses méfaits contre l'intéressé et les Rwandais sont de notoriété publique.Ce qui est certain c'est qu'il ne plaisante pas. Son fils est Premier ministre de la Belgique et il a été le premier à proférer du chantage à l'endroit du président burundais.